en cherchant Grace Jones dans Itunes je me rends compte que Grace est l'anagramme de garce... Je ne m'en étais jamais rendu compte

Don't call me master, call me Maragret.

Je ne sais si je dois parler de ce plan sm à quatre mais pis que limite niveau bareback (mais elle est resté safe la fille, bien sur), de cette espèce de jouissance qui m'a saisie lorsque un pic de speed et de stress s'est pointé au journal, du fait d'avoir trouvé "du travail" à la Gouche ou de cet appel de Germaine pour Timothy, de m'entendre dire que la vente est cassée, que l'on repart pour une folle enchère, qu'il faut absolument que je prévienne Timothy, appeler Côme pour savoir où le joindre, m'entendre dire " je lui transmets le message" et ne pas obtenir de numéro, ne pas prendre l'appel retour de Timothy sur mon portable, le prendre sur le fixe du boulot, enregistrer son numéro de portable, le premier.

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et allez vous coucher.

à l'heure de publication.

Je vais chez Denis chercher le Fed Ex qui coute un bras mais qui contient les trésors Thaï (lourds les trésors, 17kg). Blababla, les temples, le soleil, les gens. Blablabla, Paris, le froid, les gens. Blabla.
Sans prévenir, cette phrase de Denis: "Et Timothy a été finalement expulsé, il est hébergé dans le 40 mètres carrés d'une copine, les toiles sont en banlieue..." Puis, avec un sourire narquois, il ajoute : "ah tu n'étais pas au courant".

Nous revenons de Thaïlande.
Nous revoyons ce blogueur voisin.
Nous dînons avec lui dans un restaurant à tomates dans l'assiette en janvier.
Ivre, nous couchons avec lui.
Nous le retrouvons pour aller au cinéma.
Nous dînons de nouveau dans un restaurant à tomates dans l'assiette en janvier.
Sobre, nous ne couchons pas avec lui.
Nous nous interrogeons à la lecture de son blog.

Nous sommes-nous déjà amouraché?