dépotoir provisoire

Sinon, moi, quand j'étais petit, je voulais faire clown blanc; après j'ai voulu faire majordome puis plombier

L'uniforme?
La servitude?
La rigidité?


Bon après c'est parti en vrille, j'ai enchainé sur thanatopracteur.


Finalement je suis chef de l'info dans le journal le plus trash de France, c'est pas exactement pareil. Quoique.

(noté sur un carnet cette après midi, défoncé)





Rhaa!!! Tu vois que je mets à jour connasse!

Accessoirement, c'était une soirée. La soirée où Alice Et La Gouche se sont définitivement fâchées (pour l'instant). Celle où je n'ai pas assez soutenu Darda la niçoise, fâché lui aussi.

Je ne pourrais jamais venir te chercher à 8h30 à l'aéroport... C'est bien trop tôt!

Il faudrait quand même raconter cette humiliation dans un bar de Montmartre, la douce voix du serveur le lendemain sur mon autre portable m'informant que je n'ai pas payé et que j'ai laissé lunettes de soleil, CB et tutti quanti dans son établissement après l'avoir arrosé avec du vin parce qu'il ne prenait pas la carte. L'opposition déja faite sur la carte, bien sur. Dire aussi que le même soir j'ai laissé les clés dans le taxi et que j'ai cassé la fenêtre de la porte donnant sur la rue pour rentrer chez moi. Le changement de serrure, la honte, le retour au bar pour payer.

I'm strong.

Je t'emmerde, pauvre larve. Ramasse donc les quelques dernières gouttes de sang sur le pavé, pour les ramener à la famille, en souvenir de leur fille défunte tuée par un psychopathe. Et écris un joli 4 colonnes dans ton canard de merde. Dimitri... I can see you. I got antennas in Paris too, you know... And le 20ème n'est pas si loin... And I am mighty. I feel great, I feel nice. Like sugar and spice... ;-)

I'm strong.

"Je ne veux plus jamais te voir dans cet état..." ou un truc comme ça.
C'est le charmant sms que m'a envoyé petit Pierre après que je me sois mis minable. J'ai certainement du tomber et téléphoner à la moitié de mon carnet d'adresse. Peut-être ai-je aussi insulté quelques personnes.

La routine.

Bon alors j'ai le choix : soit je rentre en cure, soit je fais une croix sur ma vie affective (pour la sociale, on trouve toujours des compagnons de boisson. Je ne m'inquiète pas.).

En même temps, je suis beau, encore jeune, pété de thunes, cultivé... il me fallait bien un truc qui cloche. J"ai choisi alcoolisme, moi.

Alcoolisme/vie affective... qui gagnera? Suspense.

Sinon, toi, non seulement je ne sais pas qui tu es mais en plus la twitteuse t'emmerde (en même temps, je te remercie grâce à toi j'ai fait vachement plus long que d'habitude). Bises mon chat.