dimanche 30 août 2009
Hey big mama, tu rentres chez toi avec tes corrections de merde ok?
vendredi 28 août 2009
La foire aux virgules.
Passer, donner un coup de pied pour voir, regarder les répercussions de l'impact, repartir. C'est ma vie.
Ma soeur, Michel, Denis, Timothy... une révolution à chaque fois. Je dévaste, je chamboule, je recrée, je relance.
"il faut te supporter (dans tous les sens du terme) mais ça va le coup (si on résiste)."
Denis R.
On reviendra plus tard sur les vertus du coup de pied.
Sinon, l'angoisse en entrant chez mère grand. Cette impression de veillée pré-funéraire (pré-funèbre?). La vieillesse. Le repas, le vin, les confidences, le taxage de thunes, la fuite. L'amour quand même. The last supper en boucle.
Et puis vous, vous que j'emmerde. vous qui ne comprenez rien, jamais, qui ne voulez pas comprendre. vous qui ne pouvez focaliser sur aucune autre chose que vous. vous qui n'êtes rien. Ce rien qui est pourtant mon sujet prioritaire, mon obsession. Vous.
L'incompréhensible. Celui qui dit :
" et encore une chose : le mépris et la conscience de classe vous dépassent. privilège des +5 issus de milieux favorisés, rendus encore plus beaux et animés d'un désir et d'une soif encore plus intenses par une chute violente."
La reine du quart de tour. La maniaco dépressa ultime. La drama queen de 12 ans. Vous m'intriguez.
GIMME MORE.
(et je sais on dirait du mauvais Duras)
mercredi 19 août 2009
Ouais!
Another day, another drama...
La micro pdblogosphère, celle que je lis, 5 blogs quoi, est en émoi. Vichy is back. Puis non. Puis des excuses. Puis des explications. La fête, du mouvement, des sentiments. Un mini feuilleton en cette fin d'été. Déja fini. Dommage. (et pas de lien c'est interdit).
Je donnerais cher pour lire l'échange de mail.
Sinon :
Tiens, on a découpé une femme en morceaux
Rue de la Bienséance, à deux pas du château
On trouva ce matin une malle d'osier
Renfermant les morceaux de Pélasie Rosier
Une ancienne danseuse des Folies Bergères
Premier prix de beauté et de danse légère
Elle avait soixante ans, plus connue autrefois
Sous le fier pseudonyme de Lola, Lola
Elle envoûtait les foules et des salles entières
L'acclamaient en hurlant aux soirées de premières
On a ouvert la malle, et aussi une enquête
On attend les détails, la police est discrète
On pose des questions, on fouille l'entourage
Afin de découvrir l'auteur du découpage
J'ai été arrêtée par un car de police
En rentrant de l'école où j'ai mis votre fils
Je me suis renseignée, on cherchait un sadique
Que certains qualifiaient de fou métaphysique
D'autres disaient de lui que c'est laid, que c'est lâche
L'arme du crime étant ou la scie ou la hache
Le monstre avait coupé la dame savamment
Et rangé les morceaux avec discernement
Dans l'ordre énuméré par l'ordre des docteurs
Avec les pieds en bas Arrêtez! Quelle horreur!
On dit que l'on s'agite en milieu informé
Que la population ne doit pas s'alarmer
Je vais aller voir ça, le mystère m'enchante
Puis je prendrai mon train
Il va en perme à Nantes!
Au revoir, à lundi
Prenez votre bagage
Au revoir, mes amis
Et faites bon voyage!
Dieu que ce crime est laid, et quel assassin sale!
Il rangea cependant les morceaux dans la malle
Dans la tête, en boucle; je travaille en musique.